Collecte, tri et valorisation des déchets du bâtiment : de nouvelles obligations à venir.
À partir du 1er janvier 2023, la législation impose aux professionnels du BTP une nouvelle filière de collecte, tri et valorisation de déchets. BiM Cloisons vous éclaire sur cette nouvelle obligation qui, en filigrane, vous invite à optimiser vos chantiers.
Collecte, tri et valorisation des déchets du bâtiment : de nouvelles obligations à venir.
À partir du 1er janvier 2023, la législation impose aux professionnels du BTP une nouvelle filière de collecte, tri et valorisation de déchets. BiM Cloisons vous éclaire sur cette nouvelle obligation qui, en filigrane, vous invite à optimiser vos chantiers.
Le secteur du bâtiment produit en moyenne 42 millions de tonnes de déchets par an, dont la moitié est imputable aux entreprises de moins de 20 salariés. Si la règlementation européenne imposait que 70% des déchets soient valorisés en 2020, deux ans plus tard, le ministère affirmait que l’objectif peinait encore à être atteint. En effet, seulement 63% des déchets de chantiers inertes étaient valorisés en 2022.
Faire progresser le recyclage en France.
À partir de ce début d’année, les choses évoluent ! La loi AGEC (Anti Gaspillage pour une Économie Circulaire), prévoit que les « metteurs sur le marché », c’est-à-dire les fabricants, les importateurs et les distributeurs de produits et de matériaux de construction (PMCB), s’acquittent d’une éco-contribution financière auprès d’éco-organismes chargés de collecter, de trier et de valoriser les déchets issus du bâtiment.
Concrètement, cela signifie que les déchets de chantiers seront collectés par ces éco-organismes et que cette collecte sera gratuite pour les artisans et les entreprises de la construction. Dans un premier temps, le transport des déchets sera lui, partiellement payant (à hauteur de 50 %). L’idée étant que l’éco-organisme prenne progressivement en charge ces frais jusqu’à 80%.
L’objectif affiché est double : d’une part, réduire les dépôts sauvages en densifiant le maillage des points de collecte et en « offrant » la reprise des déchets. D’autre part, prévenir la saturation des décharges en développant le recyclage, le réemploi et la réutilisation des matériaux.
En termes de chiffres, 4 éco-organismes ont été agréés en fonction des catégories de produits qu’ils sont aptes à collecter. Il en existe 2. Les produits de la catégorie 1 sont les déchets dits « minéraux » : béton, enrobé, pierres, terre cuite…. La catégorie 2 regroupe tout ce qui n’est pas strictement « minéral » au sens de la filière. Les plaques de plâtre entrent dans cette 2ème catégorie.
On attend des éco-organismes qu’ils atteignent un taux de collecte de déchets inertes de 82 % en 2024 et de 93 % en 2027. Le taux de recyclage devra atteindre 35 % en 2024 et de 43 % en 2027. Enfin, un taux de valorisation de 77 % est visé en 2024 et 88 % en 2027. Sont qualifiés de déchets inertes, ceux qui ne contiennent aucune substance dangereuse. Parmi eux, on compte le béton, les gravats, les briques, les déchets de plâtre et ossatures, etc...
La digitalisation des entreprises du bâtiment : une solution supplémentaire pour mieux trier et valoriser les déchets ?
Nombreuses sont les entreprises du bâtiment qui reconnaissent la nécessité de trier et valoriser leurs déchets de chantier. Mais cette évidence se heurte à la pénibilité des tâches administratives et le temps que la réalisation du bordereau de tri de déchets prend sur un planning déjà très chargé.
En effet, entre le transfert et le traitement des documents écrits, sur site et entre les différentes parties prenantes, le processus est long, fastidieux, rébarbatif. Souvent effectué manuellement, il est aussi souvent source d’erreur !
La digitalisation se présenterait-elle comme une solution idéale pour éradiquer ces problématiques ? Sans surprise : oui ! Avec elle, par exemple, ce document peut être dématérialisé et partagé instantanément aux acteurs concernés.
Le meilleur déchet est encore celui qu’on ne produit pas.
Si cette phrase est une évidence, au quotidien, la mettre en œuvre se montre plus complexe ! Heureusement, les solutions développées par BiM Cloisons vous aident à œuvrer dans ce sens.
Ainsi, grâce à leurs bibliothèques de matériaux et d’ouvrages ultra-précises nos solutions BiM permettent d’optimiser vos commandes et vous acheter seulement ce dont vous avez besoin et donc vous maîtrisez vos dépenses au centime près tout en minimisant drastiquement la production de déchets !
« Avec les bibliothèques BiM Cloisons, vous disposez de la décomposition précise de tous les matériaux composants les ouvrages, vous permettant ainsi d’optimiser vos approvisionnement tout en réalisant d’importantes économies» affirme Karim BOUREGUIG, le fondateur de BiM Cloisons.
« Quand on sait que certains matériaux connaissent jusqu’à 20% de hausse et que ce n’est pas près de s’arrêter, on se dit qu’on a tout intérêt à digitaliser ses pratiques… tant pour l’environnement que sa trésorerie » conclue-t-il.
Pour tout savoir de nos solutions, n’hésitez pas à nous contacter par mail (equipe@bim-cloisons.com) ou par téléphone au 04 26 05 20 22
Revoir notre Keynote du 15 novembre : cliquer ici
Le secteur du bâtiment produit en moyenne 42 millions de tonnes de déchets par an, dont la moitié est imputable aux entreprises de moins de 20 salariés. Si la règlementation européenne imposait que 70% des déchets soient valorisés en 2020, deux ans plus tard, le ministère affirmait que l’objectif peinait encore à être atteint. En effet, seulement 63% des déchets de chantiers inertes étaient valorisés en 2022.
Faire progresser le recyclage en France.
À partir de ce début d’année, les choses évoluent ! La loi AGEC (Anti Gaspillage pour une Économie Circulaire), prévoit que les « metteurs sur le marché », c’est-à-dire les fabricants, les importateurs et les distributeurs de produits et de matériaux de construction (PMCB), s’acquittent d’une éco-contribution financière auprès d’éco-organismes chargés de collecter, de trier et de valoriser les déchets issus du bâtiment.
Concrètement, cela signifie que les déchets de chantiers seront collectés par ces éco-organismes et que cette collecte sera gratuite pour les artisans et les entreprises de la construction. Dans un premier temps, le transport des déchets sera lui, partiellement payant (à hauteur de 50 %). L’idée étant que l’éco-organisme prenne progressivement en charge ces frais jusqu’à 80%.
L’objectif affiché est double : d’une part, réduire les dépôts sauvages en densifiant le maillage des points de collecte et en « offrant » la reprise des déchets. D’autre part, prévenir la saturation des décharges en développant le recyclage, le réemploi et la réutilisation des matériaux.
En termes de chiffres, 4 éco-organismes ont été agréés en fonction des catégories de produits qu’ils sont aptes à collecter. Il en existe 2. Les produits de la catégorie 1 sont les déchets dits « minéraux » : béton, enrobé, pierres, terre cuite…. La catégorie 2 regroupe tout ce qui n’est pas strictement « minéral » au sens de la filière. Les plaques de plâtre entrent dans cette 2ème catégorie.
On attend des éco-organismes qu’ils atteignent un taux de collecte de déchets inertes de 82 % en 2024 et de 93 % en 2027. Le taux de recyclage devra atteindre 35 % en 2024 et de 43 % en 2027. Enfin, un taux de valorisation de 77 % est visé en 2024 et 88 % en 2027. Sont qualifiés de déchets inertes, ceux qui ne contiennent aucune substance dangereuse. Parmi eux, on compte le béton, les gravats, les briques, les déchets de plâtre et ossatures, etc...
La digitalisation des entreprises du bâtiment : une solution supplémentaire pour mieux trier et valoriser les déchets ?
Nombreuses sont les entreprises du bâtiment qui reconnaissent la nécessité de trier et valoriser leurs déchets de chantier. Mais cette évidence se heurte à la pénibilité des tâches administratives et le temps que la réalisation du bordereau de tri de déchets prend sur un planning déjà très chargé.
En effet, entre le transfert et le traitement des documents écrits, sur site et entre les différentes parties prenantes, le processus est long, fastidieux, rébarbatif. Souvent effectué manuellement, il est aussi souvent source d’erreur !
La digitalisation se présenterait-elle comme une solution idéale pour éradiquer ces problématiques ? Sans surprise : oui ! Avec elle, par exemple, ce document peut être dématérialisé et partagé instantanément aux acteurs concernés.
Le meilleur déchet est encore celui qu’on ne produit pas.
Si cette phrase est une évidence, au quotidien, la mettre en œuvre se montre plus complexe ! Heureusement, les solutions développées par BiM Cloisons vous aident à œuvrer dans ce sens.
Ainsi, grâce à leurs bibliothèques de matériaux et d’ouvrages ultra-précises nos solutions BiM permettent d’optimiser vos commandes et vous acheter seulement ce dont vous avez besoin et donc vous maîtrisez vos dépenses au centime près tout en minimisant drastiquement la production de déchets !
« Avec les bibliothèques BiM Cloisons, vous disposez de la décomposition précise de tous les matériaux composants les ouvrages, vous permettant ainsi d’optimiser vos approvisionnement tout en réalisant d’importantes économies» affirme Karim BOUREGUIG, le fondateur de BiM Cloisons.
« Quand on sait que certains matériaux connaissent jusqu’à 20% de hausse et que ce n’est pas près de s’arrêter, on se dit qu’on a tout intérêt à digitaliser ses pratiques… tant pour l’environnement que sa trésorerie » conclue-t-il.
Pour tout savoir de nos solutions, n’hésitez pas à nous contacter par mail (equipe@bim-cloisons.com) ou par téléphone au 04 26 05 20 22
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